Émotions et alimentation : une relation intime souvent ignorée
Notre rapport à la nourriture est rarement seulement nutritionnel. Il est affectif, culturel, inconscient.
Combien de fois mange-t-on sans faim ?
Par ennui, pour calmer un vide, pour se récompenser, se consoler.
Les émotions, en particulier celles que l’on réprime ou fuit, s’invitent souvent dans nos habitudes alimentaires. Comprendre ce lien est essentiel, car tant que l’on mange nos émotions au lieu de les écouter, la relation au corps reste brouillée, et le rapport à soi-même confus.
Les origines de cette confusion alimentaire
D’un côté, il y a les facteurs externes : le rythme de vie effréné, la pression sociale sur l’image, la disponibilité permanente des aliments transformés.
De l’autre, les facteurs internes : une estime de soi fragilisée, des accords personnels anciens comme 'fini ton assiette', 'sans sel, ça n’a pas de goût' ou 'le gras, c’est la vie'.
Ces phrases auxquelles ont a pu porté un crédit fût un temps, porte encore les traces de nos accords à travers le temps. Ceux-ci sont devenus des automatismes mentaux et créent des associations inconscientes entre certaines émotions et certains aliments.
On mange sucré pour adoucir une blessure, on grignote pour combler un silence intérieur. Ces comportements ne sont pas des fautes, mais des signaux d’un déséquilibre plus profond à rencontrer avec douceur.
Pourquoi prendre conscience change tout
Lorsque l’on commence à identifier les moments où l’on mange sous l’effet d’une émotion, une porte s’ouvre. On ne juge plus, on observe. On questionne. Et souvent, on découvre que le besoin n’est pas alimentaire, mais affectif, existentiel ou nerveux.
Cette prise de conscience est une première libération. Elle permet de remettre de la clarté, d’agir avec discernement, et surtout de recréer une relation plus saine avec la nourriture, non plus comme refuge ou fuite, mais comme soin.
Comment l’hypnose aide à retrouver l’équilibre
L’hypnose permet de plonger sous la surface des comportements.
En état de conscience modifiée, l’esprit s’ouvre à des suggestions nouvelles, plus bénéfiques.
On peut alors revisiter ces automatismes ancrés, ses accords inconscients, et reprogrammer la réponse émotionnelle.
Les Formules Magiques De Vie issues du Théragenda offrent un complément puissant : elles deviennent des incantations personnelles, des phrases d’alignement qui réorientent doucement et volontairement les habitudes ancrées via ce travail sur l’inconscient.
Au fil des jours, elles impriment une vibration nouvelle dans le corps et l’esprit.
Et quand l’émotion est déjà là, que faire ?
Il arrive que le stress ou la tristesse soient déjà installés, et que l’envie de manger surgisse.
Dans ces moments-là, l’important est de ne pas résister frontalement, mais de ralentir. D’observer l’émotion présente : est-ce de la fatigue ? Un besoin de réconfort ? Un vide à remplir ?
À partir de là, on peut appliquer des étapes simples mais puissantes pour réguler en douceur, pas à pas aller vers mieux.
Étapes de régulation émotionnelle et de transformation
1. Prendre une pause. S’arrêter 30 secondes. Respirer consciemment. C’est dans l’interstice que l’on peut choisir autre chose.
2. Identifier l’émotion. Lui donner un nom. Cela réduit sa puissance sur le système nerveux.
3. Activer une Formule Magique De Vie orientée vers l’être : 'Je suis déjà nourri.e de paix et de clarté', 'Mon corps mérite de l’écoute et de la douceur'.
4. Revenir au corps. Bouger, s’étirer, boire un verre d’eau lentement.
5. Tenir trace dans un carnet par exemple : noter l’émotion, le comportement évité ou adopté, l’accord que l’on réécrit. Ce suivi permet d'ancrer et d’accompagner le changement jour après jour.
Créer de nouveaux accords avec soi-même
Tout changement durable naît d’un accord personnel conscient. Celui qu’on choisit et non celui qu’on subit.
Réécrire ses accords personnels revient à se libérer d’anciennes injonctions.
C’est se dire : je peux me nourrir autrement. Je peux écouter mes émotions sans les étouffer. Je peux transformer, sans violence, ce lien sacré entre mon corps et mes ressentis.
Paix et Amour sur vous
John
Dans certaines écoles américaines, une initiative originale a vu le jour : utiliser "I Can", une chanson emblématique du rappeur Nas, pour renforcer la confiance en soi des jeunes élèves.
Ce titre, sorti en 2003, délivre un message puissant d’encouragement et de persévérance à travers ses paroles inspirantes : "I know I can, be what I wanna be, if I work hard at it, I'll be where I wanna be." (Je sais que je peux être ce que je veux être, si je travaille dur, j’atteindrai mon objectif).
L’Impact Psychologique sur les Élèves
Les enseignants ont rapidement observé un effet notable sur les enfants exposés régulièrement à cette chanson. En intégrant ces paroles dans des rituels matinaux de classe, les élèves ont non seulement amélioré leur estime de soi, mais aussi adopté une attitude plus proactive face aux défis scolaires.
Ce type d’approche s’inspire de la psychologie positive, qui met en avant l’impact des affirmations et de la répétition sur le développement des croyances personnelles.
Des études sur l’effet de l’auto-suggestion montrent que répéter des phrases positives aide à reprogrammer le cerveau en réduisant les pensées limitantes. En répétant chaque matin "I Can", les élèves activaient un cycle de renforcement positif qui influençait leur motivation et leur persévérance.
Les Mécanismes Cognitifs en Jeu
L’impact de cette pratique peut être expliqué par plusieurs principes neuroscientifiques :
Une Pratique Inspirante pour Tous
Cette initiative montre que le langage et la musique peuvent être de puissants outils de transformation.
Toutes pratiques quotidiennes comme chanter des parole contenant ce type de formules avec la meilleure intention créer des effets réelle et profonds.
Que ce soit pour des élèves ou des adultes, répéter des affirmations positives et écouter des messages motivants peut considérablement améliorer la confiance en soi et la résilience face aux défis du quotidien.
Conseil : Trouver son hymne à chanter au quotidien qui met de bonne humeur, avec des paroles puissantes, qui vous rendent heureux(se).
Cela boost la confiance en vous, l’estime de soi, aide à réduire le stress, aide à l’harmonie interne et à renforcer son l’immunité.
Prenez-soin de vous
John
Et si la créativité était la clé d’un changement intérieur durable ?
Dans un monde qui va toujours plus vite, où l'on valorise la performance et la maîtrise, il peut sembler secondaire de se reconnecter à sa part créative.
Et pourtant… C’est souvent en osant créer que l’on touche quelque chose de profondément authentique en soi.
Créer, c’est ressentir. C’est exprimer. C’est connecter le visible et l’invisible. C’est donner forme à ses émotions, donc parfois c’est aussi guérir.
C’est ouvrir une brèche. Une brèche vers une vie plus juste, plus vivante, plus alignée.
La créativité n’est pas réservée aux artistes
Combien de fois avez-vous pensé, ou entendu autour de vous : “Je ne suis pas créatif.ve” ?
C’est un malentendu courant. On confond créativité et talent. Mais la créativité n’a rien à voir avec une technique maîtrisée ou un style académique.
C’est une énergie intérieure, un mouvement brut, parfois maladroit, souvent surprenant, toujours vivant.
Elle se glisse dans un carnet de brouillon, dans une chanson improvisée, dans un geste spontané, un gribouilli inconscient ou une phrase notée à la volée.
Elle ne demande rien d’autre qu’à exister.
La créativité est le langage de l’âme.
Et elle appartient à tout le monde.
Même à vous, qui n’avez pas touché un pinceau depuis l’école primaire. Même à vous, qui ne savez pas danser “juste”. Même à vous, qui écrivez sans ponctuation ou sans rime.
Créer, c’est dire à son corps : “Je t’écoute. Tu peux t’exprimer tel que tu es.”
Créer pour transformer ce qui stagne
Pourquoi créer change quelque chose de fondamental en nous ?
Parce que la création remet de la circulation là où les émotions sont figées.
Et une émotion qui ne circule pas, ça pèse. Ça s’accumule. Parfois, ça se loge dans le corps, ça se transforme en fatigue, en tension, en sensation d’étouffement intérieur.
Créer, c’est remettre du mouvement. Doucement, mais puissamment.
C’est desserrer les mâchoires. Alléger la poitrine.
C’est transformer le trop-plein en message.
Un mot écrit peut être une larme qu’on n’ose pas verser.
Un trait de crayon, un cri silencieux.
Une danse, une colère qu’on traverse sans blesser personne.
Et plus encore : créer nous fait voir autrement.
Ce qu’on croyait honteux devient une matière à explorer.
Ce qu’on jugeait devient source d’inspiration.
Ce qu’on avait refoulé devient message, force, partage.
Comment libérer cette créativité, même quand on se sent bloqué.e ?
Pas besoin d’avoir beaucoup de temps, ni d’un grand atelier et encore moins de diplôme.
Voici quelques pistes douces mais puissantes :
Créer, c’est choisir d’être vivant.e
Quand on crée régulièrement, quelque chose s’ouvre. Ce n’est pas juste notre rapport à l’art qui évolue. C’est notre rapport à nous-mêmes.
On devient plus présent.e.
On sent mieux ce qui est bon pour nous.
On ose dire ce qu’on ressent, montrer ce qu’on est.
Et souvent, les choses autour de nous commencent elles aussi à se transformer.
Créer ne résout pas tout.
Mais ça crée de l’espace.
Un espace pour souffler. Pour se libérer. Pour guérir.
Et si vous essayiez… aujourd’hui ?
Pas demain. Pas quand tout sera calme.
Juste maintenant.
Prenez ce que vous avez sous la main.
Un stylo. Une feuille. Une voix. Un mouvement.
Et laissez émerger ce qui veut sortir.
Souvenez-vous :
“Je n’ai pas besoin d’être artiste. Je suis vivant.e. Et j’imagine des choses, et ça c’est déjà être un créatif, et j’ai le pouvoir de l’utiliser pour aller mieux.”
Belle nouvelle vie à vous, hâte de connaître votre retour d’expérience.
Paix et Amour sur vous.
John
Comprendre d’où vient le stress : une réponse naturelle
Le stress, loin d’être un ennemi, est à l’origine un réflexe de survie.
Pire ! Il permettait à nos ancêtres de fuir un danger imminent ou de faire face à un prédateur. Merci, c’est grâce à lui que je vous parle aujourd’hui !
Et Oui c’est vrai aujourd’hui, ce même mécanisme est activé non pas face à un tigre à dents de sabre, mais face à une boîte mail pleine, un conflit relationnel, un appel du travail en pleine vacances ou une instabilité émotionnelle.
Le cerveau, enfin plus précisément l’amygdale, déclenche alors une réaction en cascade :
production de cortisol,
accélération du rythme cardiaque,
crispation musculaire.
Tout ça parce que Christine ne trouve plus le dossier de Mme Lambert !
Oui, en réalité, il ne fait qu’une chose : tenter de nous protéger.
Les origines du stress
Les facteurs de stress peuvent être externes (pression professionnelle, surcharge mentale, événements de vie) ou internes (peurs, croyances limitantes, exigence de perfection, blessures non résolues).
Souvent, ces facteurs sont en lien avec des 'accords personnels' passés, ces règles de vie héritées de l’enfance, de l’éducation ou de la société.
Des pensées comme “je dois tout contrôler pour être aimé” ou “je ne peux pas échouer” deviennent des sources de tension constantes.
Lorsque nous agissons sous l’influence d’accords inconscients, le stress devient chronique, voire paralysant.
Pourquoi le cerveau fait appel au stress : un automatisme de protection
Le cerveau ne cherche pas notre épanouissement, mais notre sécurité.
À chaque situation perçue comme incertaine ou menaçante, il déclenche le mode 'urgence'.
Ce réflexe archaïque ne fait pas la différence entre un danger réel et une peur anticipée.
C’est ici que l’hypnose et la relaxation interviennent : en reprogrammant ces automatismes et en désactivant les fausses alertes, on restaure un fonctionnement plus apaisé et plus juste.
Hypnose, autosuggestion et réécriture de l’intérieur
L’hypnose permet d’atteindre un état de conscience modifiée dans lequel on dialogue avec l’inconscient, ce puissant moteur de nos comportements.
À travers des séances guidées ou des pratiques d’auto-hypnose, on va chercher à détendre le corps et à suggérer de nouvelles façons d’interpréter les situations.
Les Formules Magiques De Vie, inspirées du Théragenda, agissent comme des mantras évolutifs.
Ces phrases riches de sens, vibrantes et orientées vers l’être, permettent de créer des chemins neuronaux plus sains.
Elles viennent reprogrammer, ligne après ligne, notre logiciel interne.
Quand le stress est déjà là : apprendre à détecter les signaux précoces
Le stress ne s’installe jamais d’un coup. Il arrive par vagues, parfois sourdes, parfois bruyantes.
Les premiers signes sont souvent corporels : tensions dans les épaules, respiration courte, estomac noué. Puis viennent les pensées envahissantes, l’agitation mentale, l’émotion incontrôlable. Prendre conscience de ces paliers permet d’intervenir à temps.
Mes étapes clés pour apaiser chaque palier de stress
Des suggestions avec sa voix ou en pensée de type donneront un état de détente progressive à votre corps et votre Être :
*et faites le pour chaque partie de votre corps durant le scan.
Cela agit comme un ancrage. Répéter la phrase en fermant les yeux, respirant profondément et coupant les stimulations agressives externes. Un objet ou une référence rassurante peuvent également aider. C’est un autre type d’ancrage.
Palier 3 – L’émotion déborde : On entre ici en relaxation profonde. Hypnose douce, écouter des méditation guidé, visualisation apaisante, ou induction d’un lieu refuge permettent d’apaiser le système nerveux. A ce niveau si vous n’arriver pas à vous débarrasser du mauvais stress, je vous recommande de prendre RDV pour y palier avant que cela ne soit plus difficile. Vous aurez également plus de facilité à apprendre à ce niveau et reproduire certaines pratique par vous même.
Palier 4 – Perte de contrôle : À ce stade, une reprogrammation post-crise est essentielle. Aller en profondeur travailler sur les origines, travailler sur l’intégration de nouvelles croyances aidantes, avec un accompagnement ciblé peut être nécessaire. Avec l’hypnose la déprogrammation sera orienté pour que vous puissiez avoir les ressources nécessaires afin de pouvoir prévenir les prochaines situations que vous pourriez rencontrer.
Vers une autonomie émotionnelle douce
Travailler avec l’hypnose, c’est redevenir acteur de son bien-être.
Ce n’est pas supprimer le stress, mais en faire un messager au service de son équilibre.
C’est reconnaître les accords qui ne nous conviennent plus, les réactions qui n’apporte pas de bon résultats et en créer de nouveaux.
C’est formuler, jour après jour, une version plus apaisée, plus fluide et plus vibrante de soi-même. Une version qui apprend à respirer, même dans la tempête.
Prenez-soin de vous
John
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